Connectez-vous
Mot de passe oublié ?
×Vous n’avez pas encore de compte ?
INSCRIVEZ-VOUS GRATUITEMENT.
Renault a remplacé les versions break de ses Mégane et Clio par un SUV. C’est compréhensible, même si ce Symbioz vient se noyer parmi une offre de SUV déjà très importante sur le marché. Il se démarque par quelques technologies innovantes, comme le toit vitré panoramique optionnel « Solarbay »: grâce à des cristaux liquides, sa transparence peut être réglée sur quatre niveaux, via un bouton ou la commande vocale.
Ce modèle reprend la base technique du Captur, mais ses dimensions le rapprochent plutôt d’un Scénic, bien qu’il reste 7 cm plus court que ce dernier. Tout comme le Duster, il utilise en fait une version allongée de la plate-forme CMF-B. Contrairement au Scénic, on ne trouve pas ici de version électrique pure, mais une unique version hybride autorechargeable essence/électricité de 145 ch. A bord, l’instrumentation est numérique et le système d’infodivertissement OpenR Link offre des options de connectivité étendues et profitera de mises à jour à distance après l’achat. Le modèle compte jusqu’à 29 assistances électroniques à la conduite, pour améliorer la sécurité et le confort. La tenue de route est conforme à la vocation familiale du modèle et on préfère le mode Confort au mode Sport, ce dernier n’apportant pas grand-chose. Les systèmes d’aide à la conduite intrusifs peuvent être facilement désactivés à l’aide du bouton «My Safety Switch». Un raccourci bien pratique!
Le Renault Symbioz n’apporte pas grand-chose de nouveau sur son segment encombré et se retrouve même coincé entre le Captur et l’Austral, tout en devant craindre la concurrence du Duster. Pas simple… Ce SUV n’a pas de vrais défauts mais il brille par son homogénéité et son confort.