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Essai détaillé / Toyota Land Cruiser 250 2.8 Diesel : Suivre sa route, pas les modes

Rédigé par Laurent Blairon le

Après la glaise écossaise et l’ocre du Maroc, il nous restait à soumettre le nouveau Toyota Land Cruiser 250 à l’ultime épreuve: le bitume du tentaculaire et surchargé réseau routier belge, du fond des Ardennes aux artères chics de Bruxelles. Texte : Laurent Blairon | Photos : Jonathan Godin

Prix
NC
  • Avis Rédaction 15.68 /20

Le Land Cruiser repose sur la plate-forme TNGA-F, partagée avec le dernier grand Land Cruiser 300. La rigidité de son châssis en échelle a été augmentée de pas moins de 30 % (et 50% en rigidité torsionnelle), ce qui profite tant à la conduite sur le bitume qu’en dehors. Toyota mise sur une solide suspension à roues indépendantes à l’avant et sur un essieu rigide avec ressorts hélicoïdaux à l’arrière. Pour performer en dehors des routes, une réduction tout-terrain (gamme courte) avec différentiel arrière à glissement limité ainsi qu’un blocage central sont disponibles de série. Sans oublier la barre stabilisatrice avant désactivable, un atout certain assurant une meilleure articulation des essieux (plus de débattement) là où il faut se relever les bas de pantalon. Dès 30 km/h, la barre stabilisatrice est à nouveau verrouillée de manière entièrement automatique et le Toy’ retrouve alors une rigueur proche de celle d’un SUV moderne. La fonction Crawl vous aide à aborder, à faible vitesse, les pentes les plus abruptes ou glissantes. Bref, tout ce qu’il faut. 
L’attirail 4x4 a profondément évolué par rapport à la génération sortante. La structure de l’arbre de transmission est nouvelle, conçue pour être plus durable et plus silencieuse. Les différentiels Torsen de dernière génération gaspillent moins d’énergie et promettent encore plus de fiabilité.  Le système de blocage du différentiel est passé d’un moteur à un solénoïde, de quoi devenir 85% plus rapide en cas d’immobilisation du véhicule. Le centre nerveux du Land Cruiser reste son Multi-Terrain Select (MTS), dont les scénarios ajustent la direction, la force motrice et le contrôle des freins. Nouveauté: le système propose désormais un mode «Auto», qui reconnaît les conditions en cours. Le système MTS est à portée de main: un bouton et une molette à gauche de la console centrale. Sur la gamme de rapports courts, quatre modes: boue, sable, roche et auto. En rapports longs, les modes boue, sable, terre, neige profonde et auto. Le moniteur de vision panoramique (PVM) du Land Cruiser offre une vue complète de la zone immédiatement autour du véhicule et sous le véhicule. Le PVM peut être utilisé à des vitesses allant jusqu’à 12 km/h et, pour la première fois sur un Land Cruiser, il peut être activé… par commande vocale. Moderne, on vous disait!
Sous le capot, difficile de dénicher – à l’achat neuf – un Diesel plus old school que celui du Toyota. Puriste jusqu’au bout de son échappement, le 2,8 litres de 204 ch ne fait l’objet d’aucune assistance électrique. Injection directe à rampe commune, distribution par chaîne, bas moteur en fonte, c’est du costaud. Même pas de Start&Stop pour lui couper la chique, le temps d’un feu rouge! Il a pourtant été profondément remanié, notamment par l’adoption d’une nouvelle génération du turbo, doté d’une géométrie d’aube plus compacte. Pour le reste, ce 1GD-FTV est quasi tel qu’on le découvrait en 2015, alors qu’il remplaçait l’antique 3.0 D-4D à boîte 5. Ce bloc à combustion spontanée est actuellement la seule motorisation disponible pour le Land Cruiser chez nous. Ailleurs, un 2.7 à essence hybride existe… et fait l’objet de nombreuses critiques philosophiques. Cela dit et c’est important, plus tard cette année, une version 2.8 D Mild-Hybrid 48 V le remplacera.  

  • Version testée

  • toyota Land Cruiser 5p 2.8L First Edition 4WD AUTO

  • Catégories

    • Tout-terrain

    Carburant

    • DIES

    CO2

    -

    Puissance

    204 CV

    Dimension

    4925 m

    Volume Coffre

    640 à 1934 L

Dans cet article : Toyota, Toyota Land cruiser 250

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