Essai détaillé / Toyota Land Cruiser 250 2.8 Diesel : Suivre sa route, pas les modes

Long de 4925 mm, large de 1980 mm et haut de 1935 mm, le Land Cruiser est accueillant. Très certainement pour 4 personnes, et un cinquième prendra place au centre de la banquette (60/40) avec dignité. Les fauteuils avant ont été redessinés pour offrir confort et liberté de mouvement (en conduite tout-terrain). Leurs dossiers plus fins dégagent plus d’espace pour les jambes des occupants arrière. Pourtant, ces derniers regrettent d’avoir les genoux un peu trop haut placés. Sur le modèle à sept places, la troisième rangée comprend deux sièges rabattables à plat.  
Plus que l’espace pur, ce sont les attentions qui assurent un accueil premium. Sièges chauffants et ventilés à l’avant et à l’arrière, des ports USB et des prises (même une HDMI) partout, rangement réfrigéré pour les boissons, climatisation très efficace (même tout à l’arrière), poignées pour faciliter l’entrée à bord ou se tenir en usage TT. Les zones de contact sont recouvertes d’une couche épaisse. Le tableau de bord est plus bas, de même que la ceinture de caisse, ce qui renforce la sensation d’ouverture vers l’extérieur. Et selon la version, l’habitacle profite d’un toit ouvrant ou d’un grand toit panoramique fixe. Accéder au coffre se fait par un hayon à assistance électrique. Sa vitre dispose d’une ouverture indépendante. La capacité est de 1063 litres en 5 places, mais passe à 2000 litres si l’on rabat les sièges de la deuxième rangée.