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Essai détaillé / Toyota Land Cruiser 250 2.8 Diesel : Suivre sa route, pas les modes

Rédigé par Laurent Blairon le

Après la glaise écossaise et l’ocre du Maroc, il nous restait à soumettre le nouveau Toyota Land Cruiser 250 à l’ultime épreuve: le bitume du tentaculaire et surchargé réseau routier belge, du fond des Ardennes aux artères chics de Bruxelles. Texte : Laurent Blairon | Photos : Jonathan Godin

Prix
NC
  • Avis Rédaction 15.68 /20

S’il a résisté à la tentation du luxe ostentatoire, le Land Cruiser n’a pu éviter l’inflation de son prix… Plus que jamais, le Land Cruiser est un caprice de luxe ou un sérieux investissement professionnel. Une cherté qui s’explique par l’inflation technologique… et l’inflation tout court. Le premier niveau d’équipement, TX, place le ticket d’entrée à 77.020 €. Juste pour info, en 2009, le Land Cruiser 150 TX 5 portes 3.0 D entamait sa carrière à… 42.870 €. Ce n’est plus le même monde, c’est vrai… Pour ce prix, l’équipement comporte les deux différentiels ainsi que les Downhill Assist Control (DAC) et Crawl Control, mais pas encore le Multi-Terrain Select. Et vous vous contenterez de sièges en tissu, de réglages de sièges manuels et d’un air conditionné «single mode». Évidemment, à la japonaise, l’équipement s’enrichit avec les trois autres versions, TX-L, VX et VX-L, portant le prix du plus cher à 96.900 €. Notre 1st Edition n’est déjà plus vendue. Pour passer le cap des cent mille, il vous suffira d’ajouter une option: une teinte métallisée (990 €), un attelage à remorque (1.099 €) ou un intérieur en cuir (2.599 € en 5 places, 3.299 € en sept places, auxquels vous rajouterez alors les 1.090 € de la 3ᵉ rangée de sièges). 
C’est salé, mais attendez le coup de grâce fiscal: la TMC et la taxe annuelle cognent, surtout en Flandre, avec 13.694,25 € de TMC (!), et les Wallons s’acquitteront d’une écotaxe (malus) plein pot de 2.500 € en raison des 277 gr/km de CO2. Reste une seule solution, pour les professionnels: payer les 2.149 € pour la transformation en utilitaire, et alors tout va... un peu mieux, mais ce sera à deux à bord, seulement. Autre consolation: le Land Cruiser est assorti d’une garantie de 10 ans/185.000 km. 
Le volet consommation paraît presque anecdotique. Le 250 ne brûle pas beaucoup moins de gazole que son prédécesseur. Notre moyenne globale s’est stabilisée à 11 l/100 km, car nous avons sans doute un peu abusé d’autoroute. Sur route/ville, nous ne sommes jamais tombés sous les 8,5 l/100 km. Et dans la partie luxembourgeoise, notamment pour nos photos, le maximum fut de 12,5 l/100 km. Parce qu’il a besoin d’AdBlue pour rester toléré sur nos routes, il a fallu sacrifier un peu de contenance de mazout, 80 litres au lieu de 87 précédemment. Une petite centaine de bornes en moins, en somme. Pas grave en Belgique, mais perdu en plein désert marocain ? Où d’ailleurs, l’AdBlue reste une denrée rare...  

Version testée

Consommation mixte NC
Emission de CO2 g/km
0 à 100 km/h 0,00 sec.
1000m départ arrêté NC
Prix de revient au km 0,92 €

Dans cet article : Toyota, Toyota Land cruiser 250

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