C’est le patron de Lotus, Jean-Marc Gales, qui l’a confirmé : la nouvelle Elise arrivera en 2020. Cela dit, il faudra rendre à César ce qui lui appartient et le modèle définitif se différenciera fortement du concept Elise présenté en 2010. Car le concept cédait à la course à la puissance tandis qu’il était aussi plus lourd tout en promettant d’être plus cher et donc adressé à un autre public. Machine arrière tout donc : la nouvelle Elise fera honneur aux modèles précédents en respectant la combinaison d’un faible poids et d’une puissance adéquate.
Toujours en aluminium
Cette future sportive continuera à être composée d’un châssis en aluminium extrudé habillé d’une carrosserie en composite. Tout cela dans le but d’en faire le véhicule le plus léger possible, avec un poids espéré autour des 900 kg. Certes, c’est encore quelques 175 kg de plus que l’Elise de première génération, mais il faut désormais prendre en compte les nécessité d’homologation aux USA. En l’occurrence, il faut une largeur accrue pour l’implantation d’airbags et des renforts de carrosserie supplémentaires. En revanche, selon les premières informations, la direction assistée ne ferait toujours pas partie du programme...
Robe moderne
Au niveau du design extérieur, aucun dessin n’a pour l’instant été révélé mais la petite sportive ne se démarquera pas énormément des autres modèles de la marque. En effet, le but ici n’est pas de réinventer le modèle mais plutôt de peaufiner la formule gagnante des années 90 et début 2000. D’après les dires du patron de Lotus, le partenariat avec Toyota continuera pour cette nouvelle génération, notamment pour les moteurs dont la fiabilité n’est plus à prouver. Ce qui n’était pas le cas des anciens moteurs K fournis par Rover aux débuts. Si tout va bien, Lotus devrait pouvoir renouer avec les bénéfices dès l’an prochain. Et plus encore avec cette Elise prometteuse.
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