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Audi a décliné son Q4 e-Tron en variante Sportback, alors que chez Volkswagen, on trouve aux côtés de l’ID.4 également une ID.5. Il était donc logique que la Skoda Enyaq iV soit également proposée avec une ligne de pavillon plongeante. Ce modèle a reçu le nom de Coupé, faisant son apparition à la mi-2022. Une évolution stylistique qui profite aussi à l’aérodynamisme (le Cx chute de 0,26 à 0,23), et impacte ainsi positivement la consommation et l’autonomie. Sans pour autant affecter les qualités pratiques puisque ce Coupé possède un habitacle aussi spacieux que l’Enyaq traditionnel, même au niveau de la banquette arrière – l’énorme toit panoramique présent ici de série compense en effet la ligne de pavillon plongeante. Et s’il perd un peu de volume sur le papier, le coffre reste très généreux avec ses 570 litres. À l’avant, aucune différence n’est à noter par rapport à l’Enyaq classique. L’équipement est aussi identique.
Il en va de même pour les groupes propulseurs. Le Coupé est aussi décliné en variante propulsion 60 (180 ch, batterie de 58 kWh nets, autonomie WLTP de 416 kilomètres) et 80 (204 ch, 77 kWh, 544 km) et en 80x à transmission intégrale (265 ch, 77 kWh, 520 km). Cette variante de carrosserie a en outre l’honneur d’être la première déclinée en version sportive RS avec une puissance de 299 ch et des qualités dynamiques sublimées par une configuration de châssis différente.
Alors, plutôt Enyaq ou Enyaq Coupé? Le choix sera au final surtout une question de goût. Car au-delà d’une section postérieure différente et de boucliers légèrement retouchés, les différences sont négligeables. Un constat qui éclaire sous un autre jour la différence de prix, qui dépasse quand même les 3.000 €…