Nous vous l’annoncions il y a seulement 5 jours, le géant chinois Geely, propriétaire de Volvo depuis 2010, s’est offert Proton. En petit plus du rachat, l’entreprise acquiert également 51% des parts de Lotus. Avec ces fusions et rachats, les questions fulminent dans la tête des journalistes et un de nos confrères du magazine australien Drive n’a pas pu s’empêcher de demander si des échanges s’effectueront désormais entre les marques. Il est facile d’imaginer que Lotus, expert en mise au point de châssis, puisse apporter son savoir-faire pour l’élaboration des liaisons aux sols des futures Volvo. L’ingénieur suédois Roger Wallgren, responsable des châssis et dynamiques chez Volvo, a répondu qu’il était ouvert à la collaboration. « Pourquoi pas ? Je ne vois aucun problèmes à avoir recours à leurs compétences » ajoute-t-il.
Collaboration fructueuse
Voilà que nous sommes déjà partis dans les rêves et l’imagination d’une Volvo faisant face aux allemandes super sportives mais cette fois-ci avec les muscles nécessaires pour gagner le bras de fer. Peu probable vu la ligne de conduite des châssis actuels de la marque mais les compétences de la petite entreprise de Norfolk ne pourraient qu’être bénéfiques au comportement routier des suédoises, sans pour autant en faire des tueuses de M3. Et pourquoi pas, voir l’échange dans l’autres sens, comme le système de navigation et la sécurité active Volvo dans une Lotus ?
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