La Ministre de l’Écologie a indiqué suite aux perquisitions menées chez Renault – et la chute du titre en bourse – que les tests menés par la commission indépendante suite à l’affaire Volkswagen avaient seulement démontré des dépassements de normes tant pour le CO2 que pour les oxydes d’azote tout en ajoutant que cela s’était aussi vérifié chez « d’autres marques étrangères ». En revanche, Ségolène Royal a précisé qu’il n ‘y avait pas « pas de logiciel de fraude » détecté comme c’était le cas chez Volkswagen.
Provisoires
La Ministre de l’Écologie a aussi précisé qu’il s’agissait toutefois de « conclusions encore provisoires » puisque seulement 22 voitures ont été testées jusqu’à présent sur la centaine prévue. Ségolène Royal a expliqué que les tests pratiqués par le laboratoire Utac-Ceram était « capable de détecter les fraudes telles que celles reconnues par Volkswagen, c'est-à-dire des systèmes qui détectent que la voiture est en train de subir un test antipollution (...) et s'adapte ».
Pas comparable à Volkswagen
Le cas de Renault n'est « en aucun cas une situation comparable » à celle de Volkswagen a indiqué à Berlin le ministre français de l'Économie, Emmanuel Macron. L’homme a aussi tenu à rassurer en expliquant que les perquisitions qui avaient eu lieu depuis septembre dernier visaient simplement à déterminer si les informations transmises aux consommateurs étaient vraies. De ce fait, « Renault a été l'un des constructeurs contrôlés » a justifié le Ministre.
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