La presse chinoise citait de plus en plus régulièrement Geely ces derniers temps dans ses colonnes. Pas à propos de Volvo ou de Proton et Lotus racheté récemment par le groupe, mais de Fiat-Chrysler Automobiles (FCA) qui cherche des investisseurs. Geely a du coup fait savoir par voie de communiqué qu’il n’était pas intéressé de monter dans le capital de FCA qui pèse actuellement pour 20 millirds de dollars.
Pressions politiques ?
Le fait est que le gouvernement chinois tente par tous les moyens d’influencer les groupes industriels de son pays et de les encourager à acquérir des capitaux étrangers afin de s'introduire plus facilement sur de nouveaux marchés. Car c’est là un des points faibles de la Chine : desservir son propre marché sans pouvoir conquérir les autres. Regardez Qoros et vous aurez compris l’ampleur de l’échec malgré les capitaux investis.
Le cas d’école Volvo
Dès lors, le rachat d'un groupe pourrait constituer un début de solution et la position actuelle de FCA est intéressante à plus d’un titre car le groupe est en quête d’une alliance ou d’un repreneur. Le nom de Geely est donc sorti tout naturellement vu le succès qu’il connaît avec le rachat de Volvo et sans doute bientôt du tandem Proton/Lotus Cars. Après, il n’y a pas que Geely qui possède un certain capital. Pourquoi pas BYD ou Qoros justement... ?
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