Ce n’est pas parce que l’on compte James Bond parmi ses plus fidèles clients que l’on peut uniquement compter sur lui pour assurer sa survie ! Aston Martin aussi pourrait avoir besoin d’un (autre) grand-frère protecteur. Maintenant qu’Aston Martin affiche des résultats plus convaincants, son dirigeant Andy Palmer semble se lancer dans une mission « séduction » à destination d’investisseurs ou d’autres groupes automobiles.
Qui veut être mon ami ?
Il vient, en effet, d’affirmer sur Bloomberg TV que « nous sommes en train de bâtir une entreprise capable de survivre en vendant au prix fort entre 7.000 et 14.000 voitures très rentables par an, mais à condition d’avoir des partenariats ». Avant d’ajouter « si un grand frère nous aide, cela peut même devenir très profitable ». Renouant avec son premier exercice positif depuis 2010 l’an dernier, Aston Martin a atteint un chiffre d’affaire record l’an dernier. Une croissance qui devrait progresser grâce au lancement prochain de deux nouveaux modèles et, surtout, l’inauguration d’une nouvelle usine en 2019 destinée au futur SUV DBX d’Aston Martin. Mais, pour pouvoir poursuivre sa croissance, Aston Martin semble devoir faire appel à des partenaires : introduction en bourse ou rachat par un grand groupe, différentes options semblent sur la table.
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