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Dans le segment de la Passat, VW vend plus de breaks que de berlines ; il est donc logique que l'ID.7 soit également disponible en version Tourer. Le coffre, doté d’un revêtement protecteur, offre une capacité de 605 à 1.714 litres, comme dans la Passat Variant. C’est malheureusement là aussi qu’il faudra caser les câbles de recharge car cette VW est privée de frunk avant. Autre défaut, ce break électrique ne peut tracter que 1,2 tonne, ce qui est peu pour le gabarit de l’auto.
L'intérieur du Tourer est tout aussi minimaliste que celui de l’ID.7 berline, avec un mini-tableau de bord, compensé par un affichage tête haute de série avec réalité augmentée. VW a cherché la simplification et la rationalisation, avec par exemple seulement deux boutons pour commander les quatre vitres… Si l’ergonomie du multimédia a fortement évolué par rapport aux précédents modèles ID., la numérisation très poussée pourra déconcerter les utilisateurs plus âgés. Et pour désactiver l'alerte de survitesse, il faut obligatoirement passer par l'écran.
Sur la route, ce break offre un bon compromis entre confort et plaisir de conduite. Et en ville, on apprécie le faible rayon de braquage. Dommage par contre que ce break électrique soit privé de mode « one pedal », y compris sur la haut de gamme GTX de 340 ch. Le moteur d’entrée de gamme est déjà agréable et affiche une consommation raisonnable. Si vous parcourez de longues distances, on vous conseille la « Pro S » : sa plus grande batterie (86 kWh net) lui offre une autonomie théorique de près de 700 kilomètres, contre 599 kilomètres pour la « Pro » standard (77 kWh net).
Son manque d’audace esthétique ne saurait masquer le fait qu'il s'agit d'un des breaks électriques les plus réussis, avec un grand confort et une faible consommation. Mais pourquoi diable pas de frunk ni de mode one pedal ?