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Le Land Cruiser tel que nous le connaissons – car ailleurs dans le monde d’autres versions sont vendues sous la même appellation – date de 2009. Au cours des années, il a profité de plusieurs remises à niveau, la dernière datant de 2020. Il reste un vrai tout-terrain: châssis séparé, essieu arrière rigide, transmission intégrale permanente à différentiel central Torsen, possibilité de bloquer le différentiel arrière et gamme de vitesses courtes. À bord, on apprécie le confort des sièges et l’habitabilité, du moins en version 5 portes, car une 3 portes reste au catalogue. La version longue existe aussi dans une configuration 7 places.
Sur la route, l’insonorisation apparaît très correcte, mais le pont arrière rigide percute parfois. Excellent franchisseur, le Land Cruiser peut s’offrir (selon l’exécution) une armada d’aides électroniques: Multi-Terrain offrant 4 programmes de conduite, Crawl Control modulant la progression au pas, caméras périphériques, barres antiroulis déconnectables, etc. Une suspension pneumatique pilotée est également proposée. Le Land Cruiser est animé par le bloc Diesel 2.8 D-4D qui, depuis la dernière mise à jour, développe 204 ch. La cavalerie passe bien sûr via les 4 roues, via une boîte automatique à 6 rapports de série. Et, grâce au stop&start, le 4-cylindres Diesel est devenu un peu moins gourmand.
Le Land Cruiser s’est fait plus chic avec le temps. Néanmoins, il demeure un vrai outil de travail, ce qui le rend un brin moins raffiné sur la route que certains de ses concurrents plus nobles. Mais pour s’aventurer en terrain (très) difficile ou tracter de lourdes charges, il reste un monument!