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Dessiné en Allemagne, ce modèle est produit en Chine, Smart étant depuis 2020 une coentreprise détenue à 50/50 par Daimler (maison mère de Mercedes) et le groupe chinois Geely (propriétaire notamment de Volvo et actionnaire de Daimler à 10%). Le «hashtag-one» affiche pratiquement la longueur d’un Peugeot 2008. Le style est original, tant dehors que dedans, avec un mobilier épuré. Dommage que quasiment toutes les fonctions se contrôlent via l’écran d’infodivertissement de 12,8". L’espace intérieur est vaste, avec suffisamment de place pour quatre ou cinq adultes, d’autant que la banquette peut coulisser. Le coffre est moins impressionnant.
La version de base propulsion est animée par un moteur arrière de 272 ch, alimenté par une batterie de 49 kWh (310 kilomètres d’autonomie officielle) ou de 66 kWh (420-440 kilomètres d’autonomie). La petite batterie reçoit un chargeur interne monophasé de 7,4 kW, mais l’autre dispose d’un onduleur triphasé pouvant charger à 22 kW. En courant continu (DC), la petite batterie accepte une puissance de charge de 130 kW, contre 150 pour la grosse. La tenue de route est agile et plaisante, et le confort très correct. Par contre, la régénération en mode de conduite «one pedal» est difficile à doser. Pour ceux qui veulent plus de sportivité, il y a les versions bimoteurs de 368 ch, voire 428 ch pour la Brabus.
Contrairement à la smart originelle, ce modèle n’a rien de révolutionnaire. Mais c’est un crossover moderne, qui combine cuisine asiatique et allemande, et se distingue par un habitacle original et optimalisant l’habitabilité, même s’il baigne dans une sauce numérique qui ne sera pas du goût de tous