Connectez-vous
Mot de passe oublié ?
×Vous n’avez pas encore de compte ?
INSCRIVEZ-VOUS GRATUITEMENT.
L’Ypsilon donne un nouveau souffle à la marque Lancia et cette citadine italienne attire indéniablement l'attention. On remarque en particulier ses feux arrière ronds, dans le style de l’ancienne Stratos, et la signature lumineuse avant en forme de croix. L’ensemble lui donne une allure élégante et séduisante, typiquement latine. Sur le plan mécanique, par contre, elle n’a rien d’original : elle partage ses dessous (plate-forme CMP) avec ses cousines du groupe Stellantis, les Peugeot 208 et Opel Corsa.
Elle en reprend aussi les moteurs : à côté de la version tout électrique, on trouve une variante à essence tricylindre 1.2 turbo micro-hybride de 100 ch, associée à une boîte robotisée à 6 rapports. Plutôt sobre (seulement 5,5 l/100 km officiellement), cette version est logiquement plus bruyante et moins souple que l’électrique. Elle reste cependant très confortable et plutôt silencieuse, d’autant qu’elle peut évoluer momentanément en mode tout électrique. Parmi les touches de luxe à bord, on note en option la fonction massage des sièges avant.
Lancia a aussi porté une attention particulière aux matériaux intérieurs et à la finition, avec une sellerie en velours et un mobilier stylé. Mais on retrouve bien sûr des commodos déjà vus sur d’autres modèles du groupe Stellantis. L’Ypsilon parvient néanmoins à se distinguer de ses cousines, sans être vraiment plus chère (à partir de 24.000 €).
Avec son charme italien et un prix abordable par rapport à la concurrence (même au sein du groupe Stellantis), cette Ypsilon a ses chances. Des chances encore plus grandes grâce à la présence de cette variante à essence micro-hybride.