- Avis Rédaction 16.10 /20
Pour ses débuts électriques, Alfa Romeo a résisté à la tendance dominante qui consiste à planter des planchettes à tartiner TFT, froides et impersonnelles. Certes, tout a été numérisé, mais Alfa Romeo tenait au design «télescopique» de ses tableaux de bord. Le genre de détail qui rassure sur le respect de l’identité et, en tout cas, une bouffée d’air frais agréable! Tout comme le choix d’un grand nombre de commandes physiques pour le réglage de la climatisation. Juste au-dessus de l’écran tactile de 10,25’’, deux boutons de présélection: un bouton d’accueil et un autre pour le réglage de la voiture.
Ce beau tableau de bord ainsi que les excellents et magnifiques sièges créent une ambiance délicieuse. La patte Alfa Romeo est évidente. Les buses de ventilation en forme de trèfle à quatre feuilles, avec au centre le logo de la marque, sont un exemple brillant de ce besoin de se différencier. Mais aussi beau soit l’habitacle, il pêche par le choix de matériaux décevants pour une marque revendiquant le statut de haut de gamme.
Compte tenu de l’encombrement extérieur limité, l’espace est suffisant à l’avant; à l’arrière, c’est forcément un peu moins la fête, notamment en raison du tunnel central qui grappille pas mal d’espace pour les pieds. Avec 400 litres, le coffre est l’un des plus spacieux du segment. Il est juste dommage que les sièges arrière ne puissent pas être rabattus en trois parties. La soute est compartimentée en gradins, avec un plancher réglable en trois hauteurs. L’intérieur offre également de nombreux espaces de rangement, avec deux porte-gobelets entre les sièges, un profond compartiment de rangement verrouillable dans l’accoudoir et des bacs à documents dans les portes.
Dans cet article : Alfa Romeo, Alfa Romeo Junior
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