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Essai détaillé / Renault Symbioz E-Tech Full Hybrid: Chantre de la pensée unique

Rédigé par Xavier Daffe le

Renault a semble-t-il décidé de tout miser sur le SUV/crossover. Aujourd’hui, il les décline en… Rafale à un rythme effréné. Au point que l’on peut se demander ce qu’apporte ce Symbioz et quelle place il trouvera dans une gamme pléthorique.

  • Avis Rédaction 15.25 /20

Démarrant toujours par défaut sur le mode électrique, les évolutions douces en ville sont fluides, la réponse directe à basse vitesse. Mais logiquement, ce mode électrique n’est jamais longtemps seul à la barre. Une pression à peine plus franche sur l’accélérateur déclenche le réveil du 4-cylindres (en relative discrétion, il faut l’admettre) et la boîte de vitesses peut alors parfois hésiter, semblant se demander s’il faut garder le rapport, passer au rapport supérieur ou au contraire rétrograder. C’est un cas de figure relativement rare, observé essentiellement lors d’une conduite un peu enjouée ou dynamique. Ce que n’incite au demeurant pas à pratiquer ce Symbioz qui s’apprécie d’autant plus lorsqu’il est conduit en douceur, en fluidité et en anticipation pour relever le pied de l’accélérateur aussi souvent que possible afin de recharger la batterie et profiter à nouveau ultérieurement du boost de l’électricité. Conduit comme il l’aime à l’être, ce Symbioz se montre donc agréable en misant principalement sur le confort, un confort de surcroît à peine entaché par les grandes jantes de 19 pouces pas trop pénalisantes en termes de filtrage. La position de conduite est parfaite grâce aux réglages amples de la colonne de direction et du siège et les sièges assurent confort et maintien. Légère, la direction ne manque pas de ressenti et permet de diriger le Symbioz avec une relative précision. Sachant aussi qu’il ne s’avachit jamais sur ses suspensions (logiquement passives). Bref, Renault sait faire des châssis, ce n’est pas nouveau, mais ça se confirme ici. À noter aussi que ce Renault propose des modes de conduite Eco, Confort, Sport et Individuel pas loin d’être inutiles. À la limite, le choix entre Eco et Confort aurait suffi, le mode Sport étant en l’occurrence peu pertinent vu l’absence de toute velléité dynamique venant d’un crossover de 143 ch pour… plus de 1,6 tonne. D’ailleurs, avec un 0 à 100 km/h en 10,3 secondes et une vitesse maxi de 170 km/h, la messe est dite. Seul apport de ce mode incongru? Faire rugir inutilement le moteur à essence et donc le faire consommer. Sans faire avancer plus rapidement l’engin. À oublier donc… 

Dans cet article : Renault, Renault Symbioz

Rédacteur en Chef Le Moniteur Automobile

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