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Essai détaillé / Abarth 500e: Virevolteuse

Rédigé par Cedric Derese le

Le sorcier Carlo Abarth n’aurait sans doute jamais imaginé que ses petits bolides puissent un jour carburer à l’électricité, comme un lave-linge ou une machine à café… Pourtant, près d’un demi-siècle après sa disparition, son nom est encore inscrit en grandes lettres sur le capot d’une 500e! Esprit, es-tu là?

  • Avis Rédaction 16.35 /20

Véritable chef dès lors qu’il s’agissait d’assaisonner le «pot de yaourt» – c’est ainsi qu’on appelait affectueusement la Fiat 500 originelle – dans les années 60, Karl Albert Abarth (1908 – 1979), plus communément dénommé Carlo, en raison de ses accointances avec les automobiles italiennes, a marqué son époque. À tel point que lorsque Fiat a décidé de relancer la 500 (en 2007), il a rapidement été décidé d’utiliser l’insigne du célèbre scorpione pour en produire des versions plus sportives. S’ensuit l’histoire que l’on connait. Et le virage solide pris aujourd’hui par Abarth, devenue marque à part entière du Groupe Fiat, puis récemment Stellantis. Ainsi, le fait que Carlo fut surtout connu pour la préparations des petits moteurs à pistons ne semble embarrasser personne du côté de Turin. Comment expliquer, sinon, le lancement de cette nouvelle 500e dotée d’un ensemble propulseur 100% électrique?

Concept

Comme à l’époque, l’Abarth repose toujours sur une base Fiat déjà existante, en l’occurrence la 500e… qui change donc d’insigne mais pas de désignation. Comme elle, l’Abarth 500e est aussi disponible en Coupé ou en Cabrio. À noter qu’on ne parle pas (encore?) de version 3+1, avec une porte arrière «suicide» supplémentaire à droite pour faciliter l’accès à la banquette chez Abarth, tandis que le Cabrio dont il est question n’est en fait qu’une version à toit en toile coulissant (du sommet du pare-brise jusqu’à la lunette) ceinte de deux arches latérales en tôle. Hormis quelques millimètres pris en longueur du fait de ses boucliers (légèrement) plus proéminents, l’Abarth 500e conserve la compacité intéressante de sa cousine Fiat. Idem du côté de la silhouette et des contours, à l’exception de quelques détails, comme les écussons Fiat remplacés par ceux du Scorpion, le nom du célèbre «préparateur» inscrit en grosses lettres sur la pseudo calandre, des badges Abarth sur les flancs et des jupes latérales plus marquées. Pour se différencier de sa cousine Fiat, l’Abarth repose aussi sur des jantes spécialement conçues pour elle, de 17’’ ou 18’’ (sur les versions Turismo).

  • Présentation originale, finition soignée
  • Agilité et maniabilité très agréables en ville
  • Équipement de série complet
  • Plus citadine dynamique que véritable sportive
  • Autonomie limitée, et limitante
  • Tarif salé pour une petite Abarth

Dans cet article : Abarth, Abarth 500

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