La zone basses émissions d’Anvers est entrée en application en février 2017, pour lutter contre la pollution. Cette LEZ est contrôlée par des caméras ANPR contrôlant les immatriculations des véhicules entrant dans la zone. Les données sont ensuite comparées avec celles de la DIV. Et si le véhicule n’est pas autorisé, non enregistré, ou en défaut de redevance ou de ticket journalier : c’est l’amende. Les autorités anversoises ont ainsi distribué 81.372 PV en 2017, dont 15.210 rien qu’en mars 2017, premier mois de répression. Des procès-verbaux envoyés uniquement à des Belges car l’an passé, la ville portuaire n’avait pas encore accès aux immatriculations néerlandaises et françaises. Et on ne doute pas que de nombreux étrangers ne connaissent pas les restrictions et les conditions d’accès dans la LEZ (d’autant que la signalisation belge ne donne aucune indication précise sur les véhicules bannis ou autorisés). En 2017, l’amende était de 125 €. Elle est passée à 150 € depuis le 1er janvier 2018.
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