Selon Reuters, citant le journal allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung, Fiat aurait envisagé licencier 18.000 personnes (plus de 16 % des effectifs) et fermer 10 sites en Europe, dont celui d'Anvers, en cas du rachat d'Opel. Le groupe italien a démenti ceci en indiquant que cette information ne venait pas d'un « plan préparé par Fiat ». Cette rumeur, relayée dès hier soir, est de « la spéculation » aux yeux de nombreux observateurs. Néanmoins, si Fiat devait reprendre Opel, il se pourrait bien que des emplois soient perdus pour des questions de productivité. Mais rien n'est décidé encore d'autant que le gouvernement allemand a rappelé que le Canadien Magna, un équipementier, était aussi un sérieux repreneur potentiel d'Opel.
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