Les Chinois de BAIC évincés, la course à la reprise se joue dorénavant entre l'équipementier Magna et le holding belge RHJ International, même si la premier est favori. Quoi qu'il en soit, le site d'Anvers ne survivra pas. L'usine Opel belge, construite en 1924, ne fait pas partie des plans de reprise tant de Magna et que RHJ. Kris Peeters, ministre-président flamand, analyse cette décision de fermeture (progressive pour Magna) comme un acte politique. L'Allemagne a sans doute pesé de tout son poids économique et financier - avec un crédit-relais de 1,5 milliard d'euros - pour inciter les candidats repreneurs à éviter toute fermeture allemande... Au détriment de l'usine anversoise.
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