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Dérivé de la Golf VIII berline, ce break a été lancé à l’automne 2020. Il profite d’un empattement plus long (+4,4 centimètres) que celui de la berline; son habitabilité arrière est donc désormais pratiquement au niveau de celle d’un break Skoda Octavia, construit sur la même base technique. Le coffre se rapproche aussi de celui de la cousine tchèque, avec un volume variant entre 611 et 1.642 litres. Un hayon motorisé est proposé en option. L’équipement et l’aménagement de l’habitacle se calquent sur ceux de la berline. Les deux variantes ont aussi profité d’un lifting pour 2024, à l’occasion des 50 ans de la Golf. Mais les évolutions sont minimes.
Sous le capot, on retrouve dans les grandes lignes les moteurs de la berline. Certes, le break n’est pas proposé en GTI, mais bien en version «R» de 333 ch. Avec le facelift, la version 1.0 TSI a quitté le catalogue, remplacée par une 1.5 TSI dégonflée à 115 ch, un moteur disponible aussi en 150 ch. En association avec la boîte robotisée DSG, ces versions à essence disposent d’une micro-hybridation de 48 V (1.5 eTSI 116 ou 150 ch). Des Diesel sont également de la partie, avec le bloc 2.0 TDI de 115 ch (boîte manuelle) ou 150 ch (boîte robotisée DSG). La Golf Variant la plus puissante reste la « R », dont le 2.0 turbo à essence est poussé à 300 ch et associé à la transmission intégrale 4Motion ; elle passe de 0 à 100 km/h en 4,8 s et pointe à 250 km/h.
Cette génération du break Golf n’est certes franchement pas donnée, mais elle est devenue plus polyvalente et plus spacieuse que jamais.