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Le Kona a été restylé pour 2021, tant dehors que dedans: toute la console centrale a été remaniée afin d’accueillir un nouveau dispositif multimédia à écran tactile de 10,25". Le tableau de bord passait aussi au tout numérique et l’arsenal des assistants à la conduite était renforcé. Contrairement à son cousin de chez Kia, le Stonic, qui reprend la base de la citadine Rio, le Kona s’offre un châssis inédit, à l’empattement plus long de 2 cm, tout profit pour l’habitabilité arrière. Mais la modularité est basique puisque l’on ne trouve pas trace de banquette coulissante. Côté coffre, le Kona fait également mieux que son cousin de chez Kia, mais sans battre des records dans sa catégorie et son seuil de chargement reste haut perché.
Sous le capot, on trouve des moteurs turbocompressés à essence (1.0 de 120 ch, 1.6 de 198 ch et 2.0 «N» de 280 ch), mais aussi un propulseur hybride essence/électricité «autorechargeable» (141 ch) et deux variantes totalement électriques (39,2 en 64 kWh). En action, ce SUV présente un comportement rigoureux: la tenue de route est efficace et la suspension digère allègrement tous les types de revêtements.
SUV stylé et agréable à conduire, le Kona mérite le détour. Grand frère du Bayon, il offre une plus large palette de moteurs, y compris un propulseur hybride, malheureusement assez soiffard. Le petit 1.0 T-GDi reste finalement le plus polyvalent.
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