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Ce break est apparu en 2017 et a profité d'un restylage minime en 2019, suivi d’une plus grosse refonte en 2020, avec une nouvelle face avant et une connectivité peaufinée. L’empattement étant identique à celui de la berline, l’habitabilité arrière n’est pas meilleure, mais le porte-à-faux s’allonge, au profit de la soute, qui est l’une des plus spacieuses du segment, avec un volume de chargement de 602 litres banquette en place et de 1.650 litres lorsque les dossiers arrière sont rabattus. Le coffre est également pratique à charger, grâce à un espace séparé sous le plancher et divers compartiments.
Sous le capot, le 1.6 Diesel a quitté le catalogue pour le millésime 2022 et il ne reste donc que deux blocs à essence: le 1.0 à 3 cylindres de 120 ch et le 1.5 à 4 cylindres de 160 ch. Tous deux disposent d’une micro-hybridation de 48 V et le bloc thermique peut être coupé et même découplé de la transmission lorsqu’on lâche l’accélérateur. Et cela tant avec la boîte 6 manuelle qu’avec la robotisée à 7 rapports (qui est disponible avec tous les moteurs). Au volant, ce break est aussi agréable que la berline. L’i30 Wagon réalise un bon compromis entre confort et comportement. Mais la direction manque toujours de ressenti, ce que promet de corriger l’exécution sportive N Line.
Ce break coréen vient chatouiller les références européennes du segment, avec des prestations bonnes en tous points et un volume de coffre particulièrement généreux. Parmi les deux moteurs à essence, on opte pour la meilleure polyvalence du 1.5 T-GDi.