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La quatrième génération de la Série 1 est arrivée quatre ans seulement après sa devancière, qui était passée de la propulsion à la traction. La nouvelle venue se situe à la frontière entre profond lifting et véritable nouvelle génération… Pas de révolution côté design, bien que la voiture grandisse pour atteindre 4,30 mètres et relève légèrement son toit. Et ce nouveau modèle grave le chiffre 1 sur ses montants arrière. L'intérieur fait la part belle au digital, avec une large dalle numérique tactile pour le multimédia, qui fonctionne sous logiciel OS9 et se dote d’une efficace commande vocale. Le multimédia propose aussi des jeux vidéo. Mais la clim’ se règle désormais uniquement via l’écran et plus des boutons séparés.
Cette petite BMW s’équipe d’office d’un volant sport. Sous le capot, pas de version plug-in, mais bien des moteurs à essence (à 3 ou 4 cylindres, de 122 ch à 300 ch pour la M135 à transmission intégrale) et Diesel (118d de 136 ou 150 ch, et 120d de 163 ch). Seules les versions 120 à essence et Diesel disposent d’une micro-hybridation (un moteur électrique de 20 ch donne un coup de boost au thermique pour réduire les émissions de CO2). Quel que soit le moteur, la Série 1 présente une belle tenue de route, grâce à une direction et un châssis précis. La sportive M135 y ajoute encore une couche, grâce à des réglages spécifiques et sa suspension Adaptive M.
BMW présente cette Série 1 comme un tout nouveau modèle, mais il s’agit plutôt selon nous d’une profonde évolution de l’ancienne génération. Rien de mal à cela car les progrès sont bien ciblés et que cette BMW présente un plaisir de conduite au-dessus du lot chez les tractions.