Connectez-vous

Se connecter avec Facebook

ou

Vos identifiants sont incorrects.
Je me connecte Mot de passe oublié ?
Votre compte Facebook n'est pas lié à un compte sur notre site. Veuillez vous inscrire au préalable

Si vous venez de vous inscrire avec Facebook, merci de recharger la page dans quelques instants, le temps que votre inscription soit totalement activée.

Mot de passe oublié ?

×
Réinitialiser mon mot de passe
Nous vous enverrons un email pour la réinitialisation de votre mot de passe.
Aucun compte n'est lié à cet email.

Vous n’avez pas encore de compte ?
INSCRIVEZ-VOUS GRATUITEMENT.

Premier essai / Mercedes Classe S : C'est qui, la patronne ?

Avec cette mise à jour de mi-vie, la Classe S corrige une anomalie: la plus récente Classe E présentait un contenu technologique plus avancé que le sien. Voici donc la S redevenue la patronne.

La Classe S nouvelle mouture inaugure une famille de 6 cylindres 3 litres, à essence comme en Diesel. Petit événement: ce ne sont pas des V6, mais des 6 cylindres en ligne, architecture assez rare dans l’histoire de Mercedes.

Dans le cas du Diesel, cette architecture permet de rapprocher du bloc tous les organes nécessaires au post-traitement des gaz. On y gagne doublement sur le plan thermique, puisque le retraitement est plus efficace et le moteur arrive plus vite à température.

Le 6 en ligne à essence non plus n’a pas de nouveau que son architecture. Il adopte aussi un réseau 48V, car il y a bien des choses à alimenter. D’abord un alternodémarreur intégré, gérant les fonctions «hybrides» comme le boost en accélération (temporairement, un supplément de 250 Nm et 16 kW), la récupération d’énergie et, bien sûr, un stop&start particulièrement discret. Puis il y a un compresseur électrique, qui, aidé par l’alternodémarreur, annihile tout effet retard du turbo. Enfin, le réseau 48V alimente aussi tous les organes auxiliaires, tels que la pompe à eau et le compresseur de climatisation, ce qui permet de se passer de courroie d’entraînement. La distribution faisant appel à des engrenages, il ne reste dans ce moteur que la petite chaîne d’entraînement de la pompe à huile. Ces nouveaux moteurs chamboulent donc le catalogue. En Diesel, exit le 4 cylindres, l’entrée de gamme est assurée par le nouveau 6 en ligne de la S 350d (voir fiche technique). Dans la S 400d, le bloc lâche 340 ch et 700 Nm, pour 5,2 l/100 km et 139 g/km de CO2. La première version à essence est la S 430, de 367 ch et 500 Nm. Fin d’une tradition: la S 500 n’est plus une V8, puisqu’elle reçoit une version 435 ch du même 6 cylindres en ligne. Sauf que, Mercedes Belux ayant estimé inutile de combler l’écart entre la S 430 et les 469 ch de la nouvelle S 560, la S 500 disparaît du catalogue belge. Du coup, la 560 est chez nous la seule S à moteur V8. Et pas n’importe quel V8! Pour la première fois, une Mercedes «courante» a droit à un moteur créé par AMG, en l’occurrence le 4 litres biturbo de l’AMG GT, dégonflé à 469 ch et 700 Nm. Et quand nous aurons dit que ces moteurs sont tous disponibles avec la transmission intégrale 4Matic, qu’ils sont tous associés de série à la boîte automatique 9G-Tronic (améliorée elle aussi) et que les V12 des S 600 et Maybach S 650 restent inchangés, nous aurons fait le tour de la question.

  • Nouveaux moteurs de pointe
  • Aides à la conduite semi-autonome convaincantes
  • Toujours la référence du segment
  • Adieu, S 500 à moteur V8!
  • Version hybride rechargeable toujours avec l'ancien V6
  • Technologiquement égale à la roturière Volkswagen Arteon

Essais liés

Essais

Nos essais

Les concurrentes

Stocks

Voitures de stocks à la une

Occasions

Voitures d'occasions à la une