Premier essai / BMW X1 xDrive 20i : Efficacité
Si le X1 s’accommode de 3 cylindres et de roues avant motrices, conserve-t-il tout son sel équipé d’un 4 cylindres et de 4 roues motrices? Bondissons au volant du X1 xDrive 20i pour le vérifier…
Même si elle revient sens dessus dessous, ou plutôt sens «devant derrière» en s’érigeant sur la récente plateforme «traction» du groupe BMW, la seconde génération de X1 entend conserver un potentiel dynamique élevé par l’intermédiaire de ses variantes xDrive. Une transmission intégrale réservée aux moteurs qui «cubent» plus de 3 fois 500 cm3 et dénombrent donc, selon la nouvelle logique de BMW, au moins 4 cylindres au bataillon. Compte tenu de la nouvelle architecture du X1, la transmission intégrale xDrive a fait l’objet d’une refonte complète. Elle comprend dorénavant un renvoi d’angle positionné directement sur le différentiel avant ainsi qu’un embrayage multidisque à gestion électrohydraulique à l’arrière. Entre la configuration de pure traction (dans les conditions optimales) et le renvoi total temporaire du couple sur les roues postérieures en cas de besoin, le module électronique ajuste en continu la répartition entre les trains. Et avec efficacité: la motricité paraît toujours optimale et le comportement dynamique globalement centré. Ni typé propulsion, ni (trop) typé traction.
- Motricité, comportement dynamique (xDrive)
- Performances, reprises soutenues
- Habitabilité et volume du coffre
- Finition en net progrès
- Connectivité; équipement optionnel au sommet
- Aspects pratiques (banquette coulissante, espaces de rangement…)
- Consommation quelconque
- Moteur assez linéaire
- Prix final, options comprises
- Position de conduite (typée monovolume)
- Pas le charisme d’un six en ligne…
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09-12-2015
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