- Avis Rédaction 15.00 /20
D'emblée, ce n'est pas une, mais deux Golf GTI qui sont proposées : la «normale» et la «Performance». Pour répondre aux attaques d'une concurrence toujours plus radicale et tenter de combler les attentes des plus exigeants, Volkswagen s'est fendu d'une GTI plus audacieuse, la Performance (2 litres de 230 ch, différentiel avant actif et dispositif de freinage surdimensionné)... malheureusement indisponible pour cet essai. Qu'à cela ne tienne, nous nous sommes concentrés sur la GTI «normale» (220 ch), évolution plus sobre et naturelle des générations passées. Techniquement, le concept de base s'applique toujours. Comme pour le projet Sport Golf de 1975, il s'agit de coller un gros moteur sur le châssis d'une berline de grande diffusion. En l'occurrence un 4 cylindres de 2 litres turbocompressé, accouplé au choix à une boîte manuelle à 6 rapports ou à une boîte robotisée DSG, une tendance lancée par la GTI cinquième du nom en 2004. Comme toutes celles qui l'ont précédée, la GTI VII reste une traction, la variante à transmission intégrale, la R, étant vraisemblablement attendue pour dans quelques mois.
- Mix efficacité/performance/confort sans égal
- Ensemble moteur/boîte DSG détonant
- Sonorité à l'échappement (avec boîte DSG)
- Polyvalence préservée
- Consommation (relativement) maîtrisée
- Possibilités d'équipement étoffées
- Tarif relevé, options toujours coûteuses
- Suspension active (DCC) en dynamique
- Puissance de freinage très moyenne
- ESP non déconnectable
- Frein «à main» automatique de série
- Calibrage quelconque du levier de boîte DSG
Dans cet article : Volkswagen, Volkswagen Golf