- Avis Rédaction 17.00 /20
En relançant une production de série avec le Coupé 12C suivi d'un an par le Spider, les ingénieurs de McLaren mettent tout leur savoir- faire et toute leur expérience de la formule 1 dans une sportive destinée à la route, une voiture 100% anglaise, donc, qui nous arrive 20 ans après la McLaren F1 à moteur V12 BMW et 10 ans après la Mercedes SLR McLaren, qui ne l'étaient pas. Point commun entre ces 3 réalisations : la recherche de légèreté et le large emploi de la fibre de carbone que McLaren a été le premier à promouvoir en monoplaces. Ce matériau, on le retrouve intégralement dans la cellule de survie de la 12C, le MonoCell, qui ne pèse que 75 kg. Les autres éléments porteurs sont constitués de longerons «fusibles» avant et arrière en alu extrudé ou coulé. McLaren a encore appliqué à la 12C deux autres techniques bannies de la F1 pour les avantages qu'elles y procuraient : le Brake Steer (freinage de la roue arrière intérieure facilitant l'inscription en virage) et l'Airbrake (aileron arrière capable de basculer en mode aérofrein sans effort, rien qu'avec la pression du vent, de 32° à 69°).
- Performances et efficacité époustouflantes
- Agrément moteur/boîte, châssis et commandes
- Ergonomie, position de conduite, espace à l'AV
- Matériaux de haute tenue, finition léchée
- Sortable au quotidien : confort, garde au sol
- Feel-good factor et sympathi
- Visibilité de 3/4 arrière (montants-arceaux)
- Options très onéreuses (carbone surtout)
- Esthétique fade sans les options en carbone
- Choix technique daté (injection indirecte...)
- Écran GPS illisible en décapoté au soleil
- Reflets dans le pare-brise (surp
Dans cet article : McLaren, McLaren MP4-12C