Essai détaillé / Landwind CV9 1.6
Les débuts d'une marque chinoise sur notre marché sont apparemment un peu balbutiants ; ils sont ceux d'un néophyte au milieu d'acteurs possédant souvent au bas mot un demi-siècle (et plus) d'expérience. Est-ce à dire qu'il faille en rire ?
- Avis Rédaction 12.00 /20
Si le CV9 débarque maintenant sur le sol européen, il circule déjà depuis quelques années en Chine, où il s'inscrit au sein d'une gamme complète allant de la citadine aux monospaces, entre les CV5, 6, 7, 8 et 11. Le CV9 appartient quant à lui à la catégorie des monospaces compacts (4,41 m de long, 1,76 m de large et 1,64 m de haut). De conception simple, il est bâti sur une architecture de suspension traditionnelle (pseudo-McPherson à l'avant et essieu de torsion à l'arrière). Le groupe motopropulseur, installé en position transversale avant, assure l'entraînement des roues du même essieu. La gamme propose un unique 1.6 atmosphérique à essence (97 ch et 142 Nm), auquel viendra s'ajouter prochainement un 2.0 atmosphérique également à essence (140 ch et 186 Nm).
- Rapport encombrement/habitabilité
- Équilibre général appréciable sur la route
- Visibilité périphérique, habitacle lumineux
- Volume du coffre généreux
- Direction au rendu naturel
- Nombreux espaces de rangement
- Équipement de sécurité insuffisant
- Finition intérieure bâclée/insonorisation
- Rapport poids/puissance peu favorable
- Consommation réelle élevée
- Incohérence dans les commandes
- Tarage de suspension insuffisant
Dans cet article : Landwind, Landwind CV9
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