Avec le 1.4 D-4D Diesel de 90 ch, la Toyota Auris a une émission CO2 de 130 g par km. Lorsque l'Auris HSD (Hybrid Synergy Drive) fera son apparition au second semestre 2010, les rejets CO2 du modèle passeront sous la barre des 100 g/km. La berline compacte est la première Toyota issue de la gamme « hors Prius » à passer à l'hybridation. Ce mouvement sera généralisé à l'horizon 2020.
Cette Auris utilise la même motorisation thermique de 98 ch jumelée à un moteur électrique de 60 kW (80 ch) que la Prius. Ce couple électrique et 1.8 essence permet à la berline cinq-portes de passer de 0 à 100 km/h en moins de 10 s. S'il ne désire pas laisser l'Auris HSD décider seule, le conducteur pourra choisir intentionnellement trois des quatre modes de fonctionnement : Power, Eco et EV. Ce dernier est celui qui n'utilise que l'électricité, sur une courte distance (2 km) et à une vitesse de maximum 50 km/h.
Pour réduire sa consommation, cette Toyota Auris a été retravaillée sur l'aérodynamique avec une garde au sol abaissée de 20 mm, des boucliers avant et arrière redessinés, des panneaux de soubassement spécifiques et un diffuseur arrière. Les jantes de 18 pouces sont également conçues pour limiter les traînées. Elles chaussent des pneus à faible résistance.
Sur le toit du concept, on aperçoit clairement des cellules solaires. Celles-ci sont destinées, comme pour la Prius, à la ventilation de l'habitacle mais aussi à la fourniture du courant nécessaire à la recharge des téléphones et baladeurs musicaux. À l'avenir, Toyota compte utiliser les panneaux solaires pour recharger les batteries, en complément de la régénération de l'énergie de décélération.
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