Tata a déjà indiqué en juillet 2023 qu’il allait construire des usines de batteries en Inde et au Royaume-Uni. Cette dernière fournira directement Jaguar Land Rover. Le groupe indien veut aller plus loin encore en développant sa propre technologie pour s’affranchir des fournisseurs chinois. Selon Autocar Professional, un média indien, Tata s’est rapprochée du japonais AESC, un spécialiste nippon des cellules pour batteries.
À l'encre de Chine
La presse indienne indique que la collaboration pourrait d’abord débuter par un accord de licence pour utiliser la technologie japonaise dès 2025 dans les Jaguar et Land Rover. Ensuite, cela pourrait aboutir à un vrai partenariat pour mettre au point une technologie « Tata » via sa filiale Agratas. AESC travaille avec Nissan depuis 2007, ce constructeur a d’ailleurs été un de ses premiers actionnaires. Ceci dit, malgré le drapeau japonais flottant au-dessus d’AESC, la Chine n’est pas loin puisque, depuis 2018, cette entreprise a désormais comme actionnaire majoritaire le chinois Envision.
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