En rachetant Opel, PSA pourra notamment mettre son nez dans les entrailles de l’Ampera-e. Ce modèle est en réalité une variante européenne de la Chevrolet Bolt. Or, avec cette voiture, General Motors a réussi à démontrer un savoir-faire certain en matière de propulsion électrique et d’autonomie. Et cela intéresse grandement Carlos Tavares, le patron de PSA. Dès lors, à croire le magazine allemand Der Spiegel, « les brevets des véhicules constituent un obstacle majeur aux négociations entre GM et PSA ». General Motors serait prêt à accorder des licences pour ses brevets à PSA à la condition que celui-ci ne les utilise pas en Amérique du Nord, en Chine et en Russie. Or, le groupe français ne cache pas vouloir revenir aux États-Unis et est actif en Chine. De plus, il a l’ambition de proposer Opel en dehors des terres européennes. Ce qui, évidemment, ne plaît guère à GM. D’où la recherche d’accords et de compromis sur plusieurs points d’après Der Spiegel.
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