Connectez-vous
Mot de passe oublié ?
×Vous n’avez pas encore de compte ?
INSCRIVEZ-VOUS GRATUITEMENT.
La deuxième génération du C-HR est produite en Turquie, mais a été entièrement dessinée et développée chez nous, dans le centre Toyota de Zaventem. Après le succès de l'audacieux premier C-HR, la marque a poursuivi sur cette voie : le deuxième du nom affiche des lignes de carrosserie tout aussi excentriques, pouvant être mises en valeur par une peinture bicolore. L’intérieur est tout aussi original. L'habitacle est conçu comme un cocon entourant les passagers, avec des éclairages d’ambiance qui évoluent en fonction de l'heure de la journée, et de grands écrans derrière le volant et sur la console centrale. En revanche, l’habitabilité ne casse rien, surtout pas à l’arrière, où les petites surfaces vitrées réduisent encore le sentiment d’espace.
Le C-HR repose sur la plate-forme TNGA-C des Prius et Corolla, mais équipée de l’essieu arrière multibras des plus gros modèles, comme la Camry. Grâce au positionnement bas et central de la batterie, ainsi qu’à la rigidité de la coque, ce crossover présente une tenue de route agréable et précise, sans sacrifier le confort. Sous le capot, on retrouve les propulseurs hybrides autorechargeables 1.8 Hybrid (140 ch) et 2.0 Hybrid (198 ch et transmission intégrale disponible), ainsi qu’une version hybride plug-in. Plus chère, cette dernière affiche 223 ch et sa grosse batterie lui assure une autonomie électrique théorique de 70 kilomètres.
Avec son look original qui fait primer le style sur la fonction, le C-HR semble aux antipodes de l’esprit rationnel de Toyota. Mais il conserve des propulseurs hybrides économiques et fiables. Un cocktail intéressant.