Connectez-vous
Mot de passe oublié ?
×Vous n’avez pas encore de compte ?
INSCRIVEZ-VOUS GRATUITEMENT.
La dernière génération de l’Astra repose sur un squelette français, qui sert également de base à la Peugeot 308, notamment. Rallongé au niveau de l’empattement et du porte-à-faux arrière, le break Astra affiche 26,8 cm de plus que la berline, avec qui il partage sa planche de bord. Le coffre est bien sûr ici nettement plus accessible et plus spacieux, avec près de 600 litres de contenance sous le cache-bagages. Attention cependant, la soute de la version hybride plug-in et de la full électrique sont plus petites, par la faute d’un plancher légèrement plus haut à cause de l’implantation de la batterie de traction.
Sous le capot, les moteurs sont français et identiques à ceux de la Peugeot 308, avec en Diesel le 1.5 de 130 ch et, en essence, le 3-cylindres 1.2 de 110, 130 ou 136 ch, avec dans ce dernier cas une micro-hybridation permettant de rouler par moments en mode tout électrique. Les puissances suffisent car cette Astra est plus légère que ses devancières à plateforme GM. On trouve aussi un propulseur hybride plug-in de 180 ch dont la batterie de 12,4 kWh offre jusqu’à 60 km d’autonomie théorique en mode électrique. Mais l’intérêt de ce plug-in hybride a fortement chuté depuis l’arrivée d’une version full électrique, à la fois plus intéressante fiscalement et moins chère à l’achat… Dans tous les cas, grâce à son empattement plus long, l’Astra Sports Tourer est un peu mieux campée sur la route que la berline, tout en proposant un bon confort de suspension.
Cette version break corrige le défaut principal de la berline, à savoir un coffre limité. Ici, on a de la place pour les bagages. Et la technique française de ce break allemand lui confère par ailleurs un comportement incisif agréable.