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La Classe C actuelle, commercialisée à l'été 2021, utilise la plateforme MRA 2 de la récente Classe S. Par rapport à sa devancière, la Classe C a grandi dans toutes les directions. Ce sont surtout les occupants des places arrière qui en profitent. Le volume du coffre n'a par contre guère progressé. Dans l'habitacle, Mercedes joue la carte du numérique. Le nombre de boutons a été réduit au strict minimum, et le système MBUX de la dernière génération s'articule autour d'un grand écran tactile central de 11,9" et d'un second écran derrière le volant.
Les voies plus larges et l'empattement plus généreux portent le comportement routier à un niveau encore plus élevé que par le passé, avec un excellent compromis entre confort et dynamisme. Sous le capot, on ne trouve que des moteurs à 4 cylindres, tant en essence (de 170 à 204 ch voire 422 ch pour la C43 AMG) qu’en Diesel (de 163 à 197 ch). Ces moteurs sont tous associés de série à la boîte automatique à 9 rapports et à une microhybridation 48V. La gamme compte également des versions hybrides plug-in à essence (C 300e de 313 ch et C 400e de 381 ch) et même Diesel (C 300de de 313 ch), dotées d’une très grosse batterie pouvant même être rechargée sur borne DC. La plus puissante de la gamme est également hybride : il s’agit de l’AMG C 63 S E Performance de 680 ch, armée d’une transmission intégrale.
C'est avant tout par le grand raffinement de son comportement dynamique que la nouvelle Mercedes Classe C marque les esprits. Et par sa numérisation poussée également: les possibilités technologiques sont très étendues, à tel point que l'ergonomie commence à en souffrir. La plupart de ces équipements technologiques sont facturés en option, ce qui fait encore grimper un prix de base déjà élevé.