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Le S-Max deuxième du nom est arrivé dans nos contrées au printemps 2015. Il reprend la plateforme de la dernière Mondeo. Sa planche de bord est également très similaire; soit dit en passant, son ergonomie laisse d’ailleurs toujours à désirer. À l’arrière, on trouve 3 sièges individuels, réglables en longueur et en inclinaison. Pour faciliter l’accès aux strapontins optionnels du 3e rang, les sièges latéraux du rang 2 s’inclinent et coulissent vers l’avant en un seul mouvement. La dernière rangée, elle, reste réservée à des enfants. Le coffre est plus grand que celui d’une Renault Espace et un hayon motorisé figure au rang des options.
Très agréable à conduire, la Ford S-Max possède un amortissement (classique ou piloté) offrant un excellent compromis entre confort et dynamisme. Et ce monospace peut disposer d’une large gamme d’assistances à la conduite: dispositif de freinage automatique d’urgence, multiples aides au stationnement, régulateur de vitesse «intelligent» qui coupe les gaz si la limitation de vitesse change, etc. Tout comme les Mondeo et Galaxy, le S-Max n’est plus disponible qu’en version 2.5 hybride «autorechargeable», une combinaison très douce et agréable dans son fonctionnement, mais assez bruyante en charge.
Le grand monospace de Ford commence à prendre de l’âge. Mais peut toujours se targuer d’un comportement routier enjoué et d’une belle fonctionnalité. Côté mécanique, il n’est plus disponible qu’en version hybride autorechargeable qui lui permet de consommer aussi peu qu’un Diesel et de bénéficier d’un bon confort de marche… jusqu’au moment où on enfonce l’accélérateur.