Connectez-vous

Se connecter avec Facebook

ou

Vos identifiants sont incorrects.
Je me connecte Mot de passe oublié ?
Aucun compte Facebook n'est lié au site, veuillez vous inscrire.

Mot de passe oublié ?

×
Réinitialiser mon mot de passe
Nous vous enverrons un email pour la réinitialisation de votre mot de passe.
Aucun compte n'est lié à cet email.

Vous n’avez pas encore de compte ?
INSCRIVEZ-VOUS GRATUITEMENT.

Premier essai / Volvo V40

Volvo réinvestit dans le segment des moyennes «premium» avec la V40, une compacte qui attaque de front les Audi A3, BMW Série 1 et Mercedes Classe A.

Prix
NC

Pour beaucoup d'acheteurs, une Volvo, c'est avant tout une garantie de sécurité. Cette philosophie, la V40 ne la renie évidemment pas et, à côté d'équipements rares pour la catégorie (coussin gonflable pour les genoux du conducteur, capteurs d'angles morts ou de maintien de bande), elle en accueille quelques-uns de totalement novateurs comme l'airbag pour piétons qui, lors d'une collision, se déploie et vient recouvrir une partie du pare-brise pour limiter le risque de blessure à la tête. Comme pour le XC60, le City Safety fait aussi partie de la dotation de série (freinage automatique en cas de non réaction du conducteur face à un obstacle), mais son spectre d'intervention a été élargi de 30 à 50 km/h.

Comme ceux des autres modèles, les sièges de cette Volvo sont de vrais fauteuils. Du moins à l'avant, où les réglages électriques permettent de trouver une position de conduite parfaite. À l'arrière, les passagers seront moins à la fête en raison du manque d'espace et de galbes de la banquette, que l'on a connus meilleurs dans d'autres produits. Sur la route, la V40 fait preuve de beaucoup d'allant: son comportement est plus précis et efficace que celui des C30/ S40/V50 grâce à un train avant plus direct qui ploie moins sous l'effort, tandis que le confort profite d'un amortissement tout à fait judicieux autant que d'une insonorisation soignée. Les mécaniques sont du même acabit, c'est-à-dire bien sous tous rapports, même si le petit D2 souffre malgré tout en reprises d'un étagement de boîte longuet qui privilégie logiquement l'économie de carburant.

Manifestement, le rachat de Volvo par le Chinois Geely est une bonne affaire. Surtout pour Volvo, qui reçoit tous les crédits nécessaires assortis d'une carte blanche pour développer de nouveaux produits. Premier rejeton de cette nouvelle ère, la V40 témoigne en tout cas de tout le bien-fondé de cette nouvelle collaboration, parce qu'elle réunit toutes les qualités nécessaires pour rivaliser avec l'indéboulonnable trio germanique tout en continuant de se singulariser par ses traits de caractère nordiques si séduisants au quotidien (ambiance, sécurité).

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1526 du 27 juin 2012.

Dans cet article : Volvo, Volvo V40

Essais

Nos essais

Les concurrentes

Stocks

Voitures de stocks à la une

Occasions

Voitures d'occasions à la une