Premier essai / Volkswagen CC
Rebaptisé CC, le joli coupé 4 portes dérivé de la Passat entame une carrière en solo avec pour principal argument un équipement high tech.
Plutôt que de deuxième génération, il faudrait parler d'un gros restylage. En effet, malgré le changement d'appellation, ce coupé repose bien sûr toujours sur la base de la Passat. À l'intérieur, la planche de bord ne change pas. Comme la Passat lors de son restylage, le coupé CC profite de mécaniques optimisées. La CC a beau vouloir s'affranchir de la Passat, elle continue pourtant d'en restituer l'essence. À bord, tous les repères vont dans ce sens, que ce soit pour l'ergonomie ou les aspects visuels comme la petite horloge ronde perchée sur la console centrale qui, bien qu'elle tente d'évoquer la Phaeton, est aussi celle qui est montée dans la familiale.
Dès les premiers tours de roues, le coupé CC semble avoir gagné en confort acoustique. C'est logique, puisque Volkswagen recourt à davantage d'isolants phoniques (laine de 6 cm d'épaisseur) pour la planche de bord, les portières, la plage arrière et les passages de roues. Le pare-brise est quant à lui traité acoustique, tout comme le vitrage latéral (option «feuilleté acoustique» disponible à partir de mai). Pour le reste, c'est kifkif : le comportement est plaisant et efficace, tandis que la combinaison 2 litres TDI 140 ch et boîte DSG apparaît toujours comme le meilleur choix possible.
Le joli coupé CC est toujours un modèle d'agrément et de confort et il peut aujourd'hui capitaliser sur un équipement sensiblement plus raffiné pour séduire. Voilà qui devrait amplement suffire à lui assurer une seconde moitié de vie florissante.
L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1517 du 22 février 2012.
Dans cet article : Volkswagen, Volkswagen CC
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