Premier essai / Opel Insignia Country Tourer : Le choix d’itinéraire
A l’instar de toutes les grandes routières allemandes, l’Insignia – tant Grand Sport que Sports Tourer – suggère l’Autobahn et l’itinéraire obligé. Heureusement, le break nous dit aussi: «Drive on the Country side»!
Le charme d’un break lui vient aussi de son aptitude à poser les roues hors des surfaces revêtues. Une garde au sol et une suspension rehaussées, mais aussi des bas de caisse mieux protégés, sont à l’évidence les méthodes les plus simples pour reculer ses horizons en éloignant nos lignes d’évasion! Et ce sans jamais avoir les aptitudes d’un vrai 4x4 tout terrain ni même celles d’un SUV. N’empêche, ça suffit à donner à un break les atouts d’un véhicule de voyage et de rêve. Traditionnellement, le break surélevé est un concept très prisé des marques à forte image, histoire d’apporter de la valeur ajoutée facile à un modèle déjà cher! Il y a Audi (A6 Allroad), Mercedes (E All-Terrain), Volkswagen (Passat Variant Alltrack) et Volvo (V60 Cross Country). Reste les constructeurs plus spécialisés 4x4 (Subaru Outback) et les généralistes: Škoda, dont la version Scout concerne la seule variante Combi de l’Octavia et non la grande Superb, et… Opel, qui nous propose ici la deuxième génération de sa Country Tourer, une offre logique qui profite de toutes les évolutions de l’Insignia, vaisseau amiral du Blitz.
- Grand break superéquipé, classieux et accessible
- Possibilités de personnalisation (teintes)
- Disponible avec tous les moteurs et boîtes
- Le biturbo Diesel n’en donne pas pour 210 ch
- Protections de bas de caisse plus cosmétiques qu’effectives
- Pas de véritable version d’accès sous les 30.000 €
Dans cet article : Opel, Opel Insignia
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