Premier essai / Hyundai i10 1.0 Blue Drive
À l'occasion de son restylage, l'i10 remplace son tricylindre Diesel par un autre, à essence. Ses 99 g/km de CO2 donnent droit à l'écoprime fédérale maximale, mais l'écobonus wallon est raté d'un fifrelin...
Avec son nouveau tricylindre à essence, l'i10 Blue Drive est la toute première Hyundai dont les rejets de CO2 sont inférieurs à 105 g/km. Au cours d'une brève prise en main dans le centre de Bruxelles, nous avons été favorablement impressionnés par la bonne volonté et la relative vivacité de ce nouveau tricylindre 1.0. Et ce qui ne gâche rien, sa consommation est annoncée comme 10% plus faible que celle de l'«ancienne» 1.1 (à présent conforme aux normes Euro 5, il est vrai...). Et pour achever d'emporter la décision, la sonorité du 3 pattes est plus sympa que celle, anonyme, du 4 cylindres... Si l'i10 a profondément évolué au plan mécanique, il ne faudrait pas pour autant perdre de vue qu'elle a fait l'objet d'un remaniement esthétique.
La Hyundai i10 tricylindre à essence de 1 litre est volontaire en ville, distille une sonorité joyeuse et est vendue à un prix compétitif, dont l'attrait est encore renforcé par la prime fédérale de 15%. Aussi puissante que l'ancienne 1.1, la 1.0 Blue Drive la surpasse en agrément comme en économie. Mais elle doit se passer de l'option boîte automatique à 4 rapports proposée sur la 1.1, qui est également commercialisée avec un équipement moins dépouillé...
L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1492 du 2 mars 2011.
Dans cet article : Hyundai, Hyundai i10
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