Commercialisé depuis 2015, le Levorg connaît une carrière discrète chez nous. De manière générale, l’ADN Subaru colle mieux à des territoires plus «exotiques». Mais pour une fois, le Japonais avait su trouver le gène permettant au Levorg de s’implanter en Europe: le premier petit moteur boxer à essence suralimenté de la firme, un 1.6 turbo de 170 ch à injection directe plus rond que ses homologues atmosphériques, capable de compenser la disparition du boxer Diesel, sans être gonflé à bloc comme les rutilants moteurs des WRX STI. Manifestement la sauce n’a pas pris, sans doute en raison d’une fiscalité inadaptée et de rejets de CO2 trop élevés. Subaru a donc choisi de faire machine arrière en supprimant le seize-cent turbo pour retrouver un 2 litres atmosphérique… qui ne pèse pas moins lourd dans la balance CO2. Quel intérêt ? Un élément de réponse peut être trouvé dans les nouveaux hybrides XV et Forester, dévoilés à l’occasion du salon de Genève en mars dernier et qui utilisent aussi un boxer 2.0 atmo… L’avenir du Levorg suivra probablement (ou pas !) cette évolution mais en attendant, il faudra faire sans. Et pourquoi pas?
- Equipement de série toujours plus complet
- Niveau de sécurité amélioré
- Confort général optimisé
- Multimédia plus réactif et intuitif
- Garantie 5 ans ou 150.000 km
- CO2 élevé, pénalisant fiscalement
- Agrément boite CVT en conduite active
- 2.0i moins généreux que le 1.6T
- Performances décevantes
- Cache-bagage peu pratique
Dans cet article : Subaru, Subaru Levorg
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