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Essais courts / Mercedes EQA 250 - essai du prototype

Rédigé par Hans Dierckx le

Quelques jours avant le dévoilement officiel, le Moniteur Automobile a déjà pu tester la nouvelle Mercedes EQA 250, 100% électrique. Que donnent ces premiers kilomètres au volant du prototype encore partiellement camouflé ?

Concept

Le nom est un peu déroutant, on pourrait penser que la Mercedes EQA est la version EV de la Classe A. Ce n'est pas si loin, car à part quelques différences stylistiques, la carrosserie est celle du GLA. Le groupe motopropulseur est cependant complètement différent. Entre les roues avant de l'EQA se trouve un moteur électrique ZF de 140 kW et dans le plancher une batterie de 66,5 kWh. La puissance est transmise aux roues avant, mais une version 4Matic à quatre roues motrices est en route. À prévoir également : une version avec un rayon d'action de plus de 500 km.

Le tableau de bord de la Mercedes EQA est le même que celui de la GLA, seuls la garniture et les messages sur les grands écrans couleur sont différents. L'installation de la batterie amenuise l'espace intérieur. Le coffre est plus petit et le plancher à l'arrière a été surélevé, ce qui réduit l'espace pour les pieds. En prévision de la nouvelle plate-forme MMA spécialement développée pour les VE, Mercedes s'appuie sur l'architecture modulaire MFA qui permet également d'accueillir des moteurs à combustion.

Comportement au volant

En gros, avec la Mercedes EQA, ils font comme tous les autres constructeurs automobiles, l'autonomie dépendant du nombre de kWh, du poids et de la taille de la voiture. Cependant, dans le cadre de l'EQC, nous avons vu que les Allemands déploient avec pertinence l'électronique pour étendre cette autonomie jusqu'à la limite. La caméra frontale et le GPS aident le conducteur à conduire aussi efficacement que possible. Dans les descentes, par exemple, la voiture oblige doucement le conducteur à utiliser la gravité et à récupérer l'énergie autant que possible, et à maintenir la bonne vitesse pour entamer la prochaine montée avec le moins de perte possible. Rien qu'un éco-conducteur quelque peu agile ne puisse faire, bien sûr, mais tout le monde ne maîtrise pas ces principes.

La Mercedes EQA 250 se conduit avec la finesse que l'on connaît d'un VE. Le moteur délivre son couple de 375 Nm en silence et porte le SUV de 2 tonnes à 100 km/h en un peu moins de 9 s. Nous avons remarqué que le couple surpasse parfois la motricité du train avant, notamment avec les pneus hiver et le bitume mouillé. Malgré le poids, le confort de la suspension s'est avéré bon. Le fait que la batterie soit comme toujours installée en position basse et centrée, facilite bien sûr l'agilité. Mercedes a pris la peine d'isoler en plus tous les composants mécaniques, ce qui est nécessaire en l'absence de bruit de moteur pour camoufler les bruits de roulement et de conduite. De manière générale, c'est un ensemble agréable, exactement ce que l'on peut attendre de ce genre de voiture.

Verdict

Mercedes a opté pour une batterie relativement grande, certainement pour cette catégorie. Cela sert le rayon d'action, qui avec près de 400 km (en pratique) est plus que suffisant. Mais cela rend aussi la voiture lourde, ronge l'espace intérieur et fait grimper le prix. À environ 50.000 €, c'est le genre de voiture électrique qui va prospérer dans les flottes d'entreprises.

 

Journaliste AutoGids/AutoWereld

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