Lancée en 2011 et restylée une première fois en 2015, la Hyundai i40 de première génération s’est écoulée à plus de 100.000 exemplaires. Cela représente «une part de marché supérieure à 5% dans le segment D», nous expliquait fièrement Hyundai dans un communiqué. Pourtant, s’ils ne sont pas mauvais, ces chiffres ne semblent pas suffire à la firme coréenne pour que celle-ci se décide à proposer une nouvelle génération. Non, visiblement, Hyundai préfère capitaliser davantage sur les modèles à haut potentiel de croissance. Nous faisons bien évidemment allusion au catalogue SUV du constructeur, une gamme remise à jour tout récemment avec le nouveau Santa Fe, le Tucson restylé ou encore un nouveau moteur pour le Kona, qui n’est lui-même pas très vieux. Et puis, on pense également au large choix de modèles à propulsion alternative tels que l’Ioniq, le Nexo et le Kona électrique. Néanmoins, normes environnementales faisant loi, le Coréen n’a d’autre choix que de doter sa berline de moteurs respectant les derniers préceptes en vigueur, du moins s’il souhaite continuer à écouler sa berline sur le Vieux Continent.
- Habitabilité, coffre
- Fiscalité intéressante
- Consommation raisonnable
- Autonomie colossale
- Boîte robotisée
- Qualités dynamiques
- Moteur un peu faiblard lors des dépassements
- Finition un peu trop plastique
- Modèle vieillissant
- Version Shine chère
Dans cet article : Hyundai, Hyundai i40
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