En bref
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Tenue de route
Revisité, le 1.6 TDCi est non seulement plus généreux et sobre qu’auparavant, mais il est aussi accouplé à une boîte à 6 rapports à l’étagement idéal. Voilà un cocktail qui plaît, d’autant plus que le fonctionnement de la nouvelle direction à assistance électrique est exemplaire de précision et de linéarité. Sur l’aspect du châssis et de l’agrément mécanique, le C-Max n’a donc visiblement rien perdu de son pouvoir de séduction.
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Sécurité
Le comportement du C-Max est particulièrement soigné. Si ce monospace fait évidemment toujours la part belle à la stabilité, il se montre aussi dynamique dans les enchaînements serrés grâce à une direction exemplaire, des trains roulants rigoureux et un amortissement sans faille. Le freinage est à la hauteur, même si on aurait apprécié une réponse plus directe de la pédale.
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Confort
Le confort a sensiblement progressé et notamment du côté de l’insonorisation, qui profite d’un vitrage renforcé ainsi que de l’adjonction de nombreux isolants. Redessinée, la sellerie n’est pas en reste et, malgré sa fermeté, elle procure un excellent maintien. A l’arrière, seuls les deux sièges latéraux sont à réserver à des adultes. Le siège central comme les 2 strapontins escamotables s’adressent, eux, plus volontiers à des enfants.
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Sens pratique
Bien qu’elle ait évolué, la modularité est sans doute l’un des aspects les plus décevants du nouveau C-Max, qui n’a pas poussé assez loin sa recherche de l’excellence. C’est particulièrement vrai lorsqu’on observe la concurrence et en particulier son cousin, le Mazda 5, qui reste bien plus abouti. En outre, malgré les efforts (utilisation de plastiques moussés à certains endroits), la finition est loin d’être à la hauteur, en particulier celle du coffre.
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Budget
Le C-Max n’est peut être pas le plus ingénieux ni le mieux fini de sa catégorie, mais il est en revanche un des moins chers et des plus économiques. Pour les familles, cet aspect pèsera très certainement dans la balance, même si la valeur de revente devrait être moyenne.
En dédoublant sa personnalité – comprenez en misant sur deux variantes de carrosserie –, le C-Max se donne enfin les moyens d’élargir son vivier de clients et de conquérir un public autre que celui des seuls amateurs de conduite. En particulier avec la version longue qui, équipée de 2 portes latérales coulissantes, peut désormais aussi transporter jusqu’à 7 passagers grâce à ses 2 petits strapontins escamotables. Voilà qui est de bon augure pour sa deuxième carrière, même si on n’oubliera pas que l’aspect de la modularité n’a pas été poussé aussi loin qu’espéré, tout comme la qualité de la finition. Le C-Max compense ces faiblesses par des atouts comme un prix de vente franchement attrayant ou un 1.6 TDCi remasterisé qui offre l’un des meilleurs bilans agrément/prestations/économie. Entre nous, c’est déjà beaucoup.
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