Essai détaillé / Renault Zoé Z.E. 40 : Sur les traces de Tesla
Auréolée du titre de la voiture électrique la plus vendue en Europe avec ses 50.000 clients, la Zoé entend maintenant aller encore plus loin grâce à sa nouvelle batterie de 41 kWh. En l’occurrence, au moins deux fois avec la même recharge… Un atout décisif pour convertir les électrosceptiques?
- Avis Rédaction 14.43 /20
Lancée sur le marché en 2012, la Renault Zoé se positionnait d’emblée comme la plus endurante des propositions électriques en atteignant la barre des 210 km d’autonomie NEDC. Dans la pratique, les 21 kWh stockés dans sa batterie n’assuraient néanmoins encore qu’un rayon d’action réel oscillant autour des 100 à 150 km. En développant son propre moteur électrique, moins énergivore que le module signé Continental d’origine, Renault a allongé ce champ d’action dès 2015 autour des 115 à 170 km (240 NEDC). Un petit pas de plus pour la Zoé. Mais compte tenu des caractéristiques des modèles électriques concurrents qui se préparent en coulisses, Renault se devait d’enfoncer le clou de manière plus percutante s’il souhaite conserver sa place de leader sur le marché européen. Voilà qui est réglé: en équipant sa Zoé d’une batterie à la capacité quasiment doublée (41 kWh), Renault lui permet d’afficher une homologation NEDC de 403 km. Soit entre 200 et 300 km dans la «vraie» vie. Un grand pas pour l’électromobilité?
- Autonomie réelle rassurante
- Facilité d'utilisation
- Conduite urbaine reposante
- Possibilités de recharge vastes
- Applications «électriques»
- Coût (achat ou location) des batteries
- Rapport prix/finition moyen
- Banquette arrière sommaire
- Possibilités d'équipement limitées
- Frein régénérateur non modulable
Dans cet article : Renault, Renault Zoe
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