- Avis Rédaction 14.00 /20
D’être naturellement féminine, ça n’était jamais arrivé à une Opel! Tout porte à croire que l’Adam en aura l’apanage, parce que ça n’arrivera plus à un autre modèle. Pas même à la nouvelle Corsa, qui, dans le calendrier censé la promouvoir, trouve sa féminité dans la félinité de Choupette, la chatte de Karl Largerfeld, qu’elle laisse se lover sur son capot et dans les entrelacs de son volant. Un sacré de Birmanie en top-modèle, c’est sympa; en tout cas, ça fait moins sexiste qu’un mannequin… Et puis ça renoue avec une tradition lancée en 1982 par la première Corsa, que l’on a vue, dans son premier clip publicitaire, entre Tom & Jerry se courant après... Le chat de Geluck aurait certainement un avis très docte sur la question. Reste que l’Adam se passe de toutes ces félineries pour être tout simplement elle…
- Combinaisons de teintes et habillages infinies
- Vibrations et sonorité du moteur maîtrisées
- Look rafraîchissant
- Equipement de base généreux
- Suspension très correctement amortie
- Finition (pour une marque généraliste)
- Direction artificielle et peu communicative
- Garde au toit et espace aux jambes à l’AR
- Accès aux places arrière
- Seuil de coffre très haut
- Vite bourdonnante toit en toile ouvert
- Boîte robotisée Easytronic réservée à la 1.4