- Avis Rédaction 15.00 /20
Nées d'un coup de crayon très contemporain, les SLK de 1re (1996) et 2e (2004) générations exhibaient des rondeurs féminines et, forcément, des contours graciles. Celle de 3e génération qui nous occupe (2011) revient à une carrure plus masculine, avec le masque de la légendaire 190 SL des années 50 et son contour de calandre proéminent comme le bord d'attaque d'une tuyère de réacteur. Au-delà de la subjectivité esthétique, la SLK de 3e génération conserve l'empattement (2,43 m) du modèle précédent, dont la suspension a été reprise dans les principes, n'étaient les supports de roues arrière désormais forgés en alu dans le souci de réduire les masses non suspendues. Notons, au passage, que des amortisseurs pilotés sont pour la première fois proposés dans un pack de Conduite Dynamique. Notre 350 en était pourvue. Pour le reste, l'allégement nourrit les préoccupations de Mercedes, qui a éliminé des kilos de la structure de caisse (en acier HLE), de l'armature (en magnésium) du toit pliable, du panneau arrière (en plastique renforcé de fibres de verre) ou en préférant à ces matières l'alu (traverses de planche de bord, traverse de tablier arrière, ailes avant et, pour la première fois, les ailes arrière et le capot).
- Agrément de conduite (V6, boîte, châssis)
- Cabrio toutes saisons (avec Airscarf)
- Rigidité structurelle de bonne facture
- Confort et insonorisation (toit fermé)
- Consommation en conduite relaxée
- Finition soignée
- Coupe-vent moyennement efficace
- Soutien lombaire trop ou pas assez marqué
- Nombreuses options chères
- Pas de trappe entre coffre et cockpit
- Relance Stop&Start désagréable à l'oreille
- Stop&Start sensible, difficile à contenir
Dans cet article : Mercedes-Benz, Mercedes-Benz Classe SLK