Essai détaillé / Mercedes GLA 220 CDI 4Matic

Sans toucher à l'empattement original (2,7 m), il s'agissait pour les ingénieurs de proposer un modèle compact à garde au sol relevée et, au besoin, équipé d'une transmission intégrale. Principes d'essieux (McPherson à l'avant, multibras à l'arrière) et points d'ancrage fixés, ceux-ci se donc principalement concentrés sur la mise à hauteur du châssis (+ 4 cm par rapport à la Classe A) histoire de mettre le plancher du GLA un tant soit peu à l'abri de la caillasse, à un peu plus de 13 cm du sol. Aventurier urbain plus que vrai tout terrain, le GLA reste à la base une «simple» traction, mais il peut aussi recevoir la transmission intégrale 4Matic (déjà vue sur certaines versions des Classe A et CLA) en combinaison exclusive avec la boîte robotisée à 2 embrayages 7G-DCT. Sans surprise, on retrouve aussi sous le capot la plupart des moteurs déjà utilisés par les autres modèles bâtis sur la même plate-forme. Pour le reste, le GLA pioche encore allégrement dans la penderie des Classe A/ CLA pour son mobilier, ses sièges, ses équipements...