Essai détaillé / Mercedes E500
La Classe E fait un tabac depuis sa naissance, en particulier depuis son renouvellement de 1995. Ce qui ne la dispense pas d'une locomotive. La E500? Un TGV!
Le nec plus l'ultra? Oui, s'il ne fallait prévoir quelques ajouts à la longue liste d'équipements. La E500 apparaît paradoxale dans le sens où, techniquement, elle se hisse à la pointe au côté des plus somptueuses limousines, mais pas toujours en équipement standard. Oui pour le freinage «by wire», qui fait partie intégrante de toute nouvelle Classe E, ou pour la suspension pneumatico-active, en option sur les «petites» E. Non pour le contrôle de la pression des pneus, le radar actif de distance ou la commande vocale des accessoires, voire le démarrage sans clé. Allez comprendre! Comme si, en gardant le train arrière entre deux voies, la E500 ne voulait pas faire d'ombre à la Classe S, qui n'a pourtant rien de commun philosophiquement. Mais quelle caisse!
Dans cet article : Mercedes-Benz, Mercedes-Benz Classe E
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