- Avis Rédaction 15.38 /20
D’abord famille intégrée au sein de la gamme Citroën, le blason DS est devenu officiellement une marque à part entière en juin 2014. Depuis, DS Automobiles ambitionne d’«incarner dans l’automobile le savoir-faire français du luxe». Un effet d’annonce qui, jusqu’ici, n’avait pas vraiment été confirmé dans les faits… Hormis de légers restylages apportés aux vieillissantes DS 3, 4 et 5, voire l’apparition d’une DS 6 pour le marché chinois, rien n’a vraiment évolué dans la gamme ces dernier temps. Mais le renouveau s’annonce (enfin): 6 nouveaux modèles inédits imaginés depuis la déclaration d’indépendance de DS Automobiles viendront étoffer la gamme dans les 6 prochaines années. Avec, en guise de point de départ, ce SUV 7 Crossback long de 4,57 m, venant s’intercaler entre le gabarit de ses cousins siglés Peugeot 3008 (4,45 m) et 5008 (4,64 m). Mais en annonçant un degré de personnalisation, de luxe et de raffinement technologique supérieurs. De quoi plutôt viser un Audi Q5 (4,66 m) pour le prix d’un Q3 (4,38 m)… Vraiment?
- Confort de marche, insonorisation
- Personnalité esthétique
- Equipement optionnel premium
- Détails de finition
- Accord 2.0 BlueHDi/boîte EAT8
- Amortissement «confort» caricatural
- Comportement dynamique pataud
- Prix final, options comprises
- Réseau peu étoffé
- Visibilité vers l'arrière moyenne
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